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Nouvelle campagne médiatique du SFPQ
Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) occupera l’espace médiatique au cours des prochaines semaines avec une campagne visant à rappeler au gouvernement et à la population que la pénurie de main-d’œuvre frappe si fort en ce moment dans les services publics qu’elle menace la santé et la sécurité des Québécoises et des Québécois.
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Postes de la fonction publique en région - De la poudre aux yeux pour les services directs aux citoyens, déplore le SFPQ
L’annonce du gouvernement Legault de transférer des postes de la fonction publique vers les régions au cours des prochaines années n’est ni plus ni moins que de la poudre aux yeux pour les services directs à la population, déplore le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ). Bien que la création d’emplois en région soit une proposition noble, cela ne contribuera pas à freiner la détérioration des services régionaux, déjà bien amorcée, constate le Syndicat.
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Lettre ouverte : Pour un usage généralisé du français dans les services publics
Le français est en net recul au Québec. Pour préserver sa vitalité, il faut mettre toutes les chances de notre côté, en commençant par s’assurer d’un usage généralisé de cette langue dans les services publics, sauf exceptions bien définies.
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Le SFPQ souhaite la bienvenue aux cols blancs de la ville de Rigaud
Le SFPQ est fier d'annoncer l'arrivée d'une nouvelle accréditation syndicale provenant du secteur municipal. Il s'agit des cols blancs de la Ville de Rigaud, dans la région de la Montérégie, comptant une vingtaine de personnes salariées. Ces nouveaux membres, qui étaient auparavant affiliés avec les TUAC-501, ont choisi de se tourner vers le SFPQ pour les représenter.
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Une société féministe : la solution
La Journée internationale des droits des femmes a lancé le visuel de sa campagne de 2022. Une œuvre signée Stacy Bellanger Bien-Aimé à laquelle adhèrent sans conteste les membres du Comité national des femmes du SFPQ.
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Salaire minimum : « une autre occasion ratée », estime la Coalition Minimum 18 $
En se limitant à une maigre augmentation de 0,75 $ du salaire minimum, le gouvernement Legault rate encore une fois l'occasion de lutter contre la pauvreté, d'appuyer la reprise économique et d'apporter des solutions concrètes aux problèmes de rareté de main-d'œuvre, estiment les membres de la Coalition Minimum 18 $. De plus, cette hausse ne pourra permettre à une personne seule travaillant à temps plein au salaire minimum de se sortir de la pauvreté, préviennent-ils. En raison notamment des augmentations marquées du coût de la vie ces dernières années, le salaire minimum aurait dû être haussé à 18 $ l'heure, font-ils valoir.
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